Cette mamie pleure toute les larmes de son corps pour son petit fils décédé
Cette mamie pleure toute les larmes de son corps pour
son petit fils décédé
Une erreur médicale peut avoir de lourdes répercussions. Les faits
suivants, ceux d’un garçon décédé de la péritonite après 5 passages aux
urgences, rappelle que la négligence médicale est une réalité. Sa grand-mère
lance un appel pour dénoncer cette négligence qui selon elle aurait pu être
évitée.
C’est à travers une vidéo que la grand-mère en deuil, Marta
Gonzalez Alba, exprime son désarroi et son affliction. Elle y explique qu’elle
ne se soucieaucunement de l’argent et que tout ce qu’elle veut est un aveu des
médecins. « Nous avions tort » est tout ce qu’elle veut
entendre de leur part.
La négligence médicale a été fatale pour le petit fils de Marta
Gonzalez
D’après l’autopsie du garçon de 8 ans, répondant au nom de Aitor, il
est mort d’une péritonite aigue. Marta Gonzalez Alba,
la grand-mère du garçon assure que sa mort était le résultat d’une
négligence médicale, rapporte Le journal espagnol La Informacion.
Les médecins n’auraient diagnostiqué le problème du garçon et
ce, même après qu’il se soit rendu cinq fois aux urgences.
« Pourquoi, après être allée tant de fois aux urgences avec l’enfant,
ils n’ont fait aucune prise de sang ni échographie ? » s’est
demandée Marta Gonzalez, désemparée et confuse. Un questionnement légitime
quand on sait qu’en dehors des négligences, il existe également les faux
diagnostics. Une jeune maman en a d’ailleurs fait les frais en étant diagnostiquée à tort d’un cancer.
Marta Gonzalez a également révélé qu’il n’y avait aucun signe de saturation
au sein du centre. « En pédiatrie, il n’y avait que mon fils. Je ne sais pas combien d’années il me reste à vivre, mais je
jure pour la mémoire de mon fils que je les dédierai aux personnes
qui l’ont traité de la sorte, afin qu’ils
payent pour leurs actes ».
Toutefois, la femme assure qu’elle ne veut pas d’argent. Elle veut surtout
et simplement entendre les mots suivants de la bouche des responsables de
la mort de son petit garçon : « Nous nous sommes
trompés ».
Ce cas n’est pas isolé comme le rappelle celui du bébé de Laura Cooke et
Valdo Gavrilescu. Le petit est mort de septicémie après que les médecins
aient déclaré aux parents : « Votre
bébé a un simple rhume. »
Le coronavirus, un alibi idéal pour les médecins
Selon Marta, « ils couvrent tout
avec le coronavirus qui peut s’avérer mortel. Ils
ont dit que ce n’était rien et lui ont donné un médicament contre les
vomissements alors qu’il se tordait de douleur ».
Un dernier rapport d’autopsie va déterminer si oui ou non les médecins
auraient pu faire davantage pour éviter le décès du petit garçon. Ce dernier a
succombé à une péritonite, une maladie qui nécessite une attention
médicale urgente afin de lutter correctement contre l’infection. Le
journal rapporte que si la maladie n’est pas traitée correctement ou si le patient
ne se voit pas être traité par antibiotiques, le risque de mort est bien
présent.
Comme le petit fils de Marta, Sabrina de La Rosa a également été victime d’erreur médicale pendant qu’elle était
enceinte. Elle a reçu des analgésiques ayant été prévus pour calmer
les douleurs de ses contractions, mais a fini par perdre la vie.
Les examens de la péritonite. En quoi consistent-ils ?
Dans sa rubrique santé, le journal Le Figaro rapporte trois
façons d’examiner la maladie de la péritonite. La prise de sang a
pour but de rechercher les signes de gravité et d’estimer le retentissement de
la maladie (au niveau du rein en particulier). Les radiographies de
l’abdomen ou « Abdomen sans préparation » (ASP) sont
effectuées si un organe est perforé. Enfin, Le
scanner est indispensable en cas de doute de
diagnostic.